jeudi 3 janvier 2008

Pas God ... No Dieu

Visite d’une grande pagode Un bouddha nous accueille, il a les mains propres.

Des bouddha plus petits pour les gens modestes.

un gens modesteun autre gens modesteun autre gens modeste

Deux cloches devant une cloche et des oiseaux.

Salle de cours pour bonzillons.


Certains guerriers sont terrifiants.
L’une des plantes vertes est un arbitre.

L’un des deux personnages prônait le jeûne et l’abstinence.


Et toujours un échiquier…

A suivre...

Flotting Market

Le marché flottant (en thaïlandais « Flotting Market ») est un marché pour touristes, où l’on fait ses courses en pirogue.

Certains touristes font des essayages d’écharpes ou de boas.

On y mange sur des échiquiers.

A suivre...

les ecoliers de l'ecole

Dans le village de Oddh et Leun, nous croisons un groupe d’écoliers.

Les enfants chantent et dansent sur le chemin. Ils marquent une pause pour nous. Le professeur leur fait dire les quelques mots français qu’ils ont appris : « Good morning », « Where do you come from ? ».

Devant l'ecole : un echiquier...

A suivre

mercredi 2 janvier 2008

Sidecar

Sur les routes, de nombreux pick-up, mais le moyen de locomotion le plus rependu semble être la mobylette. Certaines mobylettes sont aménagées en side-car, et deviennent des boutiques ambulantes. Celle-ci vend des boissons. La plus impressionnante que j’ai croisée était un barbecue : le chauffeur y faisait cuire des saucisses, tout en roulant sur l’autoroute.

Echecs Thailandais

Them apprend à Akkhavanh à jouer aux échecs thaïlandais.
Il n’y a pas de Dames. Les Fous ne bougent que d’une case, etc.

Them ne s’appelle pas vraiment Them, c’est son surnom qui vient du fleuve anglais : La Tamise.
Les jumeaux sont surnommés « Petit » et « Grand ».

Et les echecs occidentaux :

La mere d'Akkhavanh, trente ans plus tot

25, 26 ou 27 décembre (je ne sais plus)

Nous avons retrouvé des photos de la mère d’Akkhavanh. Elles ont été prises il y a plus de 30 ans. A l’époque, elle s’était échappée du Laos pour venir en Thaïlande.

Elle y avait rencontré Odd qui était étudiante à Bangkok, notre hôtesse actuelle.

Leo, Nicole et les autres au bord de l'eau

La deuxieme maison de Sam Leun, notre hote thailandais.

En attendant les deux touristes, AK medite


A suivre

Avez-vous déjà mangé des oranges ?


aussi grosses que moi ...

mardi 1 janvier 2008

Chapeau !

Bien que nous soyons au mois le plus froid de l'annee, le soleil oblige les touristes a se rendre ridicules avec leurs chapeaux.





A suivre

jeudi 27 décembre 2007

Lundi 24 décembre, je suis monté sur le dos d’un éléphant. L’éléphant ne m’a pas demandé d’argent.Léléphant est en dessous.

C’est le 25 décembre, le ventilateur tourne. Hier soir, nous avons « réveillonné » au milieu des lucioles. La pleine Lune fut rouge, jaune, puis blanche.


A suivre

Les chiens ne votent pas

Dimanche 23 décembre, jour d’élections législatives en Thailande. Je me promène, et passe devant une pagode. Les militaires font le tour des maisons pour conduire les personnes âgées vers les bureaux de vote. Certains sont en pick-up, d’autres à moto.

Les chiens sont petits, courts sur patte et trapus, mais personne ne m’a confondu avec un chien.

A suivre

One Night in Bangkok

Le vrai, a voir sur le blog de Jean-Phi http://jporsoni.club.fr/blog/index.php?2006/04/10/24-chess-one-night-in-bangkok



A suivre

One Day in Bangkok

La différence entre le petit-déjeuner et le déjeuner, c’est qu’à midi, on ne vous sert pas de fruits de mer.

Samedi 22 décembre 2005. Mini-bus climatisé sur l’autoroute vers Bangkok. La mamie de la maison de nos hôtes nous a mis en garde : c’est plein de profiteurs à Bangkok. Nous ferons attention car il faut toujours écouter les conseils des grands-mères.

Le chauffeur de taxi est né en 2484, il a donc 65 ans. Il n’écoute pas RTL.

Dans les rues, sur plusieurs centaines de mètres, on vent du Gucci, Armani, Chanel aux touristes. Les touristes sont vrais.

Des câbles téléphoniques, des fils électriques envahissent les rues, et forment une sombre toile d’araignée sur Bangkok.

A midi, je mange des abats de porc (il faut vivre dangereusement). Akkhavanh se contente de sang de cochon coagulé cuit. Ce plat peut se manger cru si le sang est très frais.

Retour avec un tchouk tchouk

De retour chez Ohdd, nous avons droit à une démonstration de xylophone par le fils aîné.

Il est professeur de musique. Sa mère est fière, sa grand-mère est très fière.



A suivre

vendredi 21 décembre 2007

Arrivée à Bangkok (Thaïlande)

Arrivée à Bangkok (Thaïlande) à 12h30 heure locale. Dix-huit heures de voyage. Encore une heure pour les bagages, la douane et les visas (rien à payer pour un séjour de moins d’un mois).

Dans le hall d’accueil, je repère une dame qui correspond au signalement donné par la mère d’Akkha, au milieu d’un millier de thaïlandaises (environ). Sa Vat Di semble vouloir dire « bonjour », c’est vite dit.

L’aéroport de Bangkok est un monstre énôrme de béton, d’acier, de béton, de verre et de béton. Nos hôtes ont une voiture climatisé, il fait 25° dehors. L’air est un peu humide.

J’ai été incapable de me rappeler le nom de nos hôtes, je les appellerai donc « nos hôtes », pour l’instant. Je crois qu'il s'appelle "Sam Loun", et elle "Ohod"

Les routes sont peu encombrées. Une heure plus tard nous arrivons dans la demeure de nos hôtes.

Cyril devant sa future maison...

A suivre

Je me suis envoyé en l'air

Départ de Paris pour Colombo (Sri Lanka) le 20 décembre. Vers 14h.

Dans l’avion, je suis à côté d’une jeune femme qui est monitrice de plongée. Elle se rend également à Bangkok, et revient dans trois semaines, par le même avion que nous. Mais, de même que nous ne restons pas à Bangkok, elle continue vers deux endroits magnifiques dont j’ai oublié le nom. Elle s’appelle Laurence, et c’est la première fois qu’elle se rend dans la région pour des vacances, et non pour travailler.

Après avoir regardé dans l’avion l’excellent « Philadelphia Story » (Cary Grant, James Stewart, Katherine Hepburn,…), j’ai revu « Bourne Ultimatum » et « Ratatouille » sur un écran de 10 cm de large. Nous arrivons à Colombo à 4h30 du matin, heure locale. Cependant, toutes les pendules de l’aéroport indiquaient 5h00. N’ayant jamais entendu parler de décalage horaire avec 30 min d’écart : je suppose que toutes les pendules étaient mal réglées… euh … peut-être.

Nous avons passé 4 heures à visiter l’aéroport de Colombo, sans rencontrer le Lieutenant.

Les mêmes films étant prévus sur le vol Colombo-Bangkok, j’ai passé les quatre heures de vol à comparer les tenues des hôtesses. Ghenaya avant un plus joli dos que Natacha, mais le nombril de Natacha était plus mignon.

A suivre

mardi 18 décembre 2007

- 5 ° à Paris


Aurais-je du mal à quitter Paris ?
Non.

A suivre

Nicole et Leo vont-ils nous rejoindre ?

Un message inquietant de Leo :




A suivre

18 déc. Départ de Bastia

25 ° au Laos, 5° à Bastia, 0° à Paris...










Akkhavanh a passé bien des heures à préparer le voyage vers la Thaïlande, puis le Laos. Une amie de sa mère doit nous accueillir à Bangkok, puis une cousine à la frontière laotienne.

Départ de Bastia mardi 18 décembre 2007, à 12h.











Cyril et moi à l’aéroport.

Akkhavanh sur la passerelle, le soleil est derrière les nuages.

Il fait 5° à Bastia et zéro à Paris. Les fontaines sont gelées. Akkha et Cyril devant la Conciergerie (parce que le concierge la chatouille).

Moi, devant le quai des Orfèvres (Louis Jouvet n’est pas là)

Nous passons à la librairie échiquéenne Variante, pour acheter « New in Chess », entre autre.

Repas dans le XIIIe arrondissement, histoire de nous acclimater à l’ambiance asiatique. Puis ciné, puis dodo.

Akkha devant la mairie du XIIIe... il a failli tester le vélib.

Demain, départ vers la Thaïlande, avec une escale au Sri Lanka.

A suivre.

mercredi 18 avril 2007

Les feuilles de parties se ramassent à l'appel


Aux Championnats de France Jeunes du Grand Bornand, je présidais la Commission d'Appel (j'avais un suppléant, au cas où...).
Sur les 5400 parties jouées, aucune décision d'arbitre n'a fait l'objet d'un appel ou d'une réclamation.
Bravo !

mardi 17 avril 2007

Nulles de salon, non ! Cassoulet de Castelnaudary, oui !

Il y a des bruits qui courent qui me font rigoler (j'ai tendance à rigoler quand je vois des bêtises, alors que d'autres se vexent ou s'énervent)

1) La nulle de Delorme : elle aurait été acceptée s'il l'avait demandé dans les formes. On lui a juste dit de respecter la forme. Pas de sanction. Il n'a jamais été question de leur faire perdre la partie.

2) La nulle de François Brethes : J'entends parler de répétition... quelle répétition ? Je lis que l'arbitre à refusé la nulle par répétition. Regardez les parties (consultables ici). Il n'y a même pas deux fois la même position ! ... alors trois fois ...!??
Au Grand Bornand, j'ai mangé un excellent cassoulet préparé par le père de François. Il se trouve que j'ai été son premier prof et que j'ai gardé d'excellents rapports avec Frenchy et sa famille (ils ont passé des vacances en Corse, etc...). Devant ce cassoulet (au confit de canard), la question de la nulle a été évoquée. Quand je lui ai demandé pourquoi il n'avait pas répété la position, il m'a répondu : "Parce que je suis trop c..., j'ai forcé pour gagner"

3) La nulle des petits-poussins. J'entends que l'arbitre aurait autorisé la demande de nulle à un gamin ayant un Roi dépouillé contre plusieurs pièces. A ma connaissance, le seul cas qui s'est produit de demande très incorrecte s'est passé ainsi :
A la table de jeu, le Roi dépouillé demande s'il peux faire nulle. L'adversaire répond à la place de l'arbitre : "ça va pas la tête !"